Soyons réaliste, exigeons l'impossible!

Une brise fraiche sur l'encolure, fessent doucement danser ses crins noirs au vent doux, un ciel nuageux, gris pâle, n'ayant aucune apparition de ne serrait-ce qu'un minime rayon de soleil, même pas de luminosité, l'air étant chaud, l'étalon sentait que le ciel finirais par se compressé en une immense masse mauve et qu'un violant tempête finirais par se déclencher mais, il s'en foutait un peu, rien ne l'importait pour l'instant mise a part qu'il avait encore été enfermée dans un prés, seul, séparez de tout le monde. ses sabot s'enfonçant dans la boue humide du sol qui commençais sérieusement a devenir marécageux, il galopait sauvagement dans l'enclos, manquant plusieurs fois de glisser dans le sol massacré par la dernière pluie. il avait envie de s'enfuir mais il ne pouvait pas refaire la même chose que la dernière fois, il ne pouvait pas abattre la barrière d'un coup violant, non, car elle avait un fil électrique a la puissance des taureaux de rodéo. Le choque est brutal, quand on le reçoit, on a envie de s'effondre sur le sol, car oui, le Pauvre Chimical Romance a déjà eu la mauvaise idée d'aller le testé. il avait reculé d'un coup violant, se redressent sur ses postérieure. mais c'était de l'histoire ancienne, maintenant c'était aujourd'hui et il fallait vire jour le jour, même si parfois c'était pénible. L'étalon gris pommelé s'agitait dans le prés, il avait envie de partir, loin , très loin, on l'avait attrapé et on l'avait enfermé, il détestait qu'on lui barre la route, c'était comme lui barré sa vie pour lui, la liberté , c'était tout, m,enfin, pour le moment... entendent un bruit, il tourna les oreille puis sa tête fine, il plaqua alors ses oreille sur la nuque en voyant qu'un humain approchais, pour le voir, même si c'était de visiteuse, on dirait qu'il n'avait pas été avertie du danger que représentait cet étalon. Il baissa alors la tête au sol et d,un trot cadencé il parti en direction des gens, il releva brusquement la tête, d'un coup et la rabaissa, il fessait comme des signe de "dégager", "en aller vous de la!" il passa la tête par dessus la clôture et et, les yeux exorbité, il chassa les gens. un autre bruits retentit de l'autre côté *pas encore!* pensa-t-il, il tourna la tête et vit que c,était une petit jument pie avec un drôle de truc a la jambe, une attelle. il plaqua les oreille et alla en direction d'elle, il s'arrêta alors en cours de route, au milieux du prés et la fixa.

Aujourd'hui pas de soleil, juste de simple nuage gris qui devenait de plus en plus menaçant et qui annonçait sans doute une tempête pour la fin de journée. Peu importe, pour le moment, la paint profitait sans problème de ses quelques heures de libres dans son prés. Comme chaque jour elle s'était manifesté à quelques coups d'antérieur dans la porte de son box et un palefrenier n'avait pas tarder. L'attrapant par son licol il la dirigea aussitôt dans l'un des prés qui semblait vide à première vue. Le sol était quelque peu boueux à cause des dernières pluies et la chaleur était au rendez-vous. Une fois détachée et donc libre, la jument s'éloigna aussitôt de quelques pas rapides, les allures supérieurs lui étant impossible, avant de plonger son bout du nez dans l'herbe humide. C'est ce qu'elle fit en premier avant de refaire quelques pas pour s'éloigner un peu plus des barrières. Ses crins voletaient gracieusement avec la fine brise et elle avançait en rythme. Le prés semblait vide et c'est pourquoi elle se redressa brusquement quand une sombre silhouette se dessina un peu plus loin. Il s'agissait d'un étalon plutôt pommelés qui ne montrait aucune retenu envers une bipède non loin des barrières. La paint l'observa simplement, son encolure redressé, ses oreilles pointée et dans une position plutôt fière jusqu'à qu'elle ne s'éloigne à nouveau de quelques pas. Pour le moment l'étalon ne semblait pas l'avoir aperçue ce qui ne la dérangeait pas plus que cela. La compagnie n'était pas ce qu'elle préférait au monde et le fait de rester seul ne la dérangeait pas plus que cela. Alors qu'elle s'éloignait de quelques pas tout en arrachant quelques touffes d'herbe, un brusque bruit de sabot s'enfonçant dans le boue lui fit relever la tête et son regard se posa sur l'étalon un peu plus loin. Il l'avait vu car il ne tarda pas à rabaisser ses oreilles et à s'avancer de quelques pas en sa direction avant de s'arrêter à mi chemin. Restant sur place, Arizona secoua brièvement son encolure avant de rabaisser une oreille, après tout, elle n'allait pas se laisser faire sans rien dire. Ce n'était pas parce qu'elle se voyait réduite dans ses mouvement à cause de son atèle qu'elle était vulnérable, au contraire !
Immobile face à lui, elle le fixa elle aussi un moment avant de redresser son encolure quand une fine brise balaya le domaine, faisant à nouveau voler ses crins...

l'étalon se cabra alors violemment mais resta ou il était un bon moment. puis,il partie d'un trot cadencé vers la jument, s'arrêtant devant la barrière qui séparait les deux prés, il mordilla la clôture un peu puis s'énerva pour une quelconque raison. il plaqua les oreille encore une fois et il se cabra de nouveaux.

La petite paint était toujours posé au même endroit, le regard posé sur l'étalon pommelé un peu peu plus loin de l'autre côté de la barrière. A son tour il l'observait avant qu'il ne se mette brusquement en mouvement. La paint horse sursauta bien évidemment et se décala dans un bref écart avant de rabaisser une oreille. Elle ne voyait pas de raison valabe à donner à cet étalon à part la folie. Le voir attaquer la barrière de bois avec cette haine là ne lui donnait pas une bonne image de lui, peut-être était ce qu'il tentait de faire. En attendant la paint horse ronflotta nerveusement et s'éloigna d'un simple pas. L'étalon inconnu se trouvait dans le pré voisin à mordre les barrières et elle n'avait aucune envie de le voir dans son pré ou un quelconque autre lieux. La compagnie n'était pas fait pour elle d'autant qu'elle n'était plus aussi rapide et agile qu'avant à cause de son atèle noire entourant son antérieur fracturée. Lâchant un simple ronflement elle s'éloigna finalement de quelques pas pour aller arracher quelques touffes d'herbes appétissantes un peu plus loin. Le ciel quand à lui s'était tranquillement assombri mais la pluie ne semblait pas pour tout de suite, tant mieux car cela aurait marqué la fin de sa journée au pré ! Le bout du nez à présent plongé dans l'herbe, Arizona avait tout simplement décidé d'ignorer l'étalon. Après tout, ils étaient tout les deux dans un prés différent et il n'y avait aucune chance qu'elle passe de l'autre côté. Pour ce qui était de l'étalon, cette idée ne lui traversa même pas l'esprit !

L'étalon ronflota,ne voulant pas s'attirer encore des probleme avec les humain, il laissa la clôture en paix. il avait enfin sortie de se prés lugubre et silencieux ou on l'avait abandonné, il était immense oui mais être seul lui avait enlever le gout de vivre de plus en plus. Il se retourna d'un seul coup, pivotant sur ses postérieure puis repartie au milieux du prés. Il s'énervait, il s'ennuyais, il était tanner d'être seul, il était vraiment écœuré par sa vie et il avait rien a faire , en plus, il n'aimait pas grand chose de se qui se passait dans cet endroit inconnue, on montait sur les dos des bêtes, et on leurs foutait un truc dur et froid dans la machoir. il voulait partir.

Il bondit d'un coup et parti en galopant, il avait peu être fait 8 tour qu'il ne s'essoufflait pas notre puissant étalon.

Alors que la jument paint s'était éloigné de quelques pas pour arracher quelques touffes d'herbe, l'étalon, comme piquer par quelques choses s'éloigna brusquement des barrières. Adoptant aussitôt un grand galop, il décrivit plusieurs tours avant de s'arrêter de temps en temps au milieu du prés. Bien entendu la jument avait sursauter à cela et son regard était à présent porté sur la silhouette pommelé qui se défoulait sans doute dans le prés voisin. Ah elle aussi la liberté lui manquait ! Elle avait grandi pendant deux belles années dans les vastes plaines désertiques du désert de l'Arizona d'où son nom avant que toute sa vie ne bascule. Les êtres humains en étant les seuls responsable et pourtant, bien que caractérielle, elle n'avait plus la force de lutter, elle avait cesser. De toutes façon, ils avaient toujours une solution à quoi que ce soit. Un mors plus dure pour moins de résistance, une cravache ou des éperons pour se faire obéir et finalement une atèle noir pour empêcher tout mouvement supérieur que le pas. Soupirant silencieusement, son regard ne se détacha pas de l'étalon. Le voir galoper la démangeait mais elle ne pouvait rien faire. S'approchant finalement de quelques pas de la barrière, elle lâcha un petit hennissement avant que la brise ne face voleter ses crins et qu'elle ne l'oblige à tourner légèrement la tête pour éviter le trop de vent dans la tête. Elle se doutait plus ou moins que l'étalon n'était pas social et elle aussi, mais disons qu'elle esperait qu'il ne reviendrait pas non plus trop vite à la charge ! Redressant son encolure à l'exagérer car elle était de petite taille, elle passa finalement son encolure par dessus la barrière...

l'étalon s'arrêta brusquement alors qu'il la voyait s'approcher, il resta ou il était, de l'autre coté du prés. il la fixa de la, puis, entendant son hennissement, il s'approcha, d,un petit trop, même si il n'aimait pas trop la compagnie, il s'y aventuras quand même. il arriva et s'arrêta a un mètre de la clôture, donc, de la jument. Il ne dit rien, attendant qu'il se passe quelque chose.

Ce qu'elle venait de faire était contraire à toutes ses habitudes, ne s'étant jamais avancé vers les autres, elle les laissait toujours venir à elle, à croire que l'étalon avait le don de la faire culpabiliser. En effet, à peine s'était-elle arrêté contre les barrières qu'elle regrettait déjà son geste mais elle n'en avait pas le choix, malgré elle les agissements de l'étalon piquait sa curiosité, ce que presque personne n'avait fait depuis le jour de sa naissance ! Cessons, elle était née avec du caractère et ce n'était pas en une simple rencontre qu'elle allait céder ! D'ailleurs son regard était posé sur la silhouette pommelé et plus grand qu'elle un peu plus loin dans le pré voisin mais elle ne pût s'empêcher de rabaisser une oreille et de reculer de quelques pas. Tout de même, elle ne voulait pas risquer sa vie ! L'étalon était à présent à un mètre de la clôture, tout comme elle après avoir reculer, et elle ne bougea pas. L'observant simplement d'où elle était, elle lâcha un petit ronflement de "mise en garde" avant qu'elle ne secoue son encolure. Ils étaient là, l'un en face de l'autre et personne ne semblait visiblement prête à faire le premier pas..

L'étalon ne broncha pas, se fichant des signe de la jument, il resta sur place, a observer la petite jument paint, aucune émotion dans les yeux, juste peu être la fatigue mais a penne

Toujours en face de l'étalon, la paint ne bougea premièrement pas. Une oreille rabaissé en arrière, elle l'observait simplement, tout comme lui. Il restait immobile et malgré leur "petit duel", la jument ronflotta nerveusement avant de s'ébrouer et de finir par reculer de quelques pas. Après tout, la solitude lui allait tout aussi bien que la compagnie, d'autant plus qu'elle n'avait pas du tout l'habitude d'aller à l'encontre des autres équidés ! Bref, s'étant donc éloigné de l'étalon pommelé en boitant à cause de son atèle qui ne faisait rien d'autre que de la gêner et de lui faire mal, elle ne se retourna même pas. Elle aussi avait du caractère et elle n'allait pas se manifester devant l'étalon comme la moitié des juments au printemps, loin de là ! Dans un petit hennissement, elle finit par s'arrêter et son regard se posa alors sur le ciel puis finalement sur une silhouette humaine un peu plus loin qui n'était que de passage. Il était hors de question qu'elle rentre maintenant, même si le ciel s'assombrissait de plus en plus et qu'elle n'était pas forcément une fan de la pluie ! De dos à l'étalon, quelques mètres plus loin elle ne l'observa même plus, son regard étant posé sur cette silhouette humaine qui s'engouffrait dans l'écurie, un cheval à ses côtés..

L'étalon s'approcha pendant que la belle paint regardais un humain plus loin, il regarda mais en voyant un humain, il eu un geste brusque et recula avant de se cabré doucement et reculer encore.

La paint qui avait fait demi-tour pour ne prêter aucune attention à l'étalon s'était immobilisé à la vue d'un palefrenier un peu plus loin avant qu'il ne disparaisse de son champ de vision en entrant dans l'écurie. Lâchant un simple soupir de contentement, elle tourna finalement la tête en direction de l'étalon pommelé qui se cabra brusquement. Avait-il peur des humains ? La dessus la jument paint hocha la tête, redressant une oreille pour prendre une attitude légèrement narquois. Peut-être cherchait-elle les ennuis mais peut importe. Ronflottant brièvement, elle laissa son regard poser sur l'étalon quelques instants avant qu'elle ne s'éloigne de quelques pas incertain à cause de son atèle.
Le ciel s'était encore assombri et à présent, l'on pouvait croire que la nuit était entrain de tomber en plein milieu de journée. Secouant vivement son encolure pour enlever les quelques mouches, elle arracha une simple touffe d'herbe avant de continuer sa progression. Laissant l'étalon seul ! Après tout, s'ils voulaient vraiment se connaître, ils allaient sans doute devoir s'efforcer de faire des progrès..

l'étalon détestait les humains, il avait gâché près de la moitié de sa vie en, le laissant pourrir dans un vieux prés, il ne voulait pas du tout que sa recommence et surtout, il se fessait souvent frappé et violemment a part de ça. Les première goutes d,eau commencèrent a tomber, tout doucement, puis, les gouttelettes devinrent de grotte goute d'eau, épaisse. L'étalon, n'aimant pas se retrouver tout mouiller ronflotta, rabaissant son encolure et une oreille. Puis il arrêta de pleuvoir, mais pas pour longtemps, il commenças a grêler pas fort, mais après, les billes devinrent plus épaisse, et plus dure, plus pincent et fessant plus mal. Elle tombait si forte, si rapidement, s'en était impossiblement et surtout quand on est l'été et que l'aire et chaud. L'étalon se cabra violemment, cherchant un habrit, un arbre. Il n'y en avait un que dans le rpés voisin, celui d'Arizona. Alors, sans porter attention a la jument, il partie dans un galop, la grêle étant encore plus douloureuse a présent quand il allait vite, puis sauta la clôture d'un geste puissant et légé. Il alla sous l'arbre puis, , n'aillant pas le souffle court du tout, il regarda la jument plus loin, comme si il était une statue, comme si il la regardait a l'envie de la tuer, comme si il éprouvait une certaine fascination.

Du côté de la jument tout semblait allez pour le mieux. Le palefrenier avait finit par disparaître dans l'écurie et les dernières mouches avaient quitter les lieux à cause de la tempête imminente. Ne s'en préoccupant pas pour le moment, Arizona arrachait tranquillement quelques grosses touffe d'herbe qu'elle mâchouillait tout en avançant avant que le temps ne se gâte. Les premières gouttes d'eau firent leur apparition ce qui ne dérangea pas plus la paint horse pour le moment avant que cela ne redouble de fluidité. Rabaissant une oreille, elle abaissa également son encolure avant de s'immobiliser, sentant ses crins s'affaisser de plus en plus contre son corps, ce qu'elle détestait tout simplement ! Tout cessa cependant quelques minutes plus tard, laissant la place à la grêle, encore mieux ! Ronflottant brièvement, elle n'eut pas le temps de songer à aller s'abriter que l'étalon pommelé passa la barrière sans problème pour prendre place sous son arbre. Ses oreilles se rabaissèrent aussitôt mais à voir le regard de l'étalon, elle ne bougea pas, restant simplement sur place, l'encolure basse pour éviter de s'en prendre plein la tête. Les grêlons redoublait toujours de volume et de force mais peut importe, elle ne bougerai pas vers l'étalon si ce n'est pour le chasser ! Ce qui n'allait certainement pas tarder à arriver si la grêle tombait toujours aussi rapidement !

L'étalon fini par avoir une certaine pitié pour elle, il fit un coup de tête en l,aire comme signe qu'elle pouvait venir. ça ne lui dérangeais pas qu'elle vienne, ce n'était pas son arbre et surtout pas son prés donc, elle n'avait a rester sous le bille blanches. ayant lui aussi tout les crins collez a son encolure, il la secoua du'un geste bref mais efficace puis se retourna vers la jument.

(9 dsl, pas trop longue réponse ^^ jme pratique car avec toi, j'ai comme un défis d,en faire des grosse parce que parois, c'est rien qu'une phrase XD ))

[ Pas de problème =) Fait comme tu préfères ! ]

La paint était toujours immobile, l'encolure rabaisser au milieu du pré sous les billes blanches qui descendaient du ciel sans retenu. Ses crins noirs lui collaient contre le corps ce qui lui amaigrissait encore plus sa silhouette ce qui ne donnait plus grand chose pour un éventuel caractère bien imposant. Peut-importe, elle avait assez de rentre-dedans pour le faire partir si elle le voulait. Finalement, l'étalon l'interrompit bien avant qu'elle ne réagisse en l'invitant sous l'arbre d'un bref signe de tête. Hésitant un moment, notamment à cause de son atèle noir autour de son antérieur fracturé qui la rendait bien plus vulnérable et surtout car elle ne voulait pas risquer de tomber dans une quelconque manipulations. Oubliant tout ça, elle s'éloigna de quelques pas boiteux en direction de l'arbre, l'encolure toujours porté assez basse à cause de la grêle. Enfin à l'abri, son regard se posa brièvement sur l'étalon après qu'il ne soit soit ébroué et qu'il ai à son tour poser son regard sur elle, et elle le remercia d'un bref mouvement de tête avant de s'ébrouer à son tour. La pluie et la grêle, elle détestait mais un abri ne faisait jamais de mal, du moment que l'on venait pas la rentrer pour cette simple excuse ! Elle en avait assez de tourner en rond dans son box !

chacun d'un côté du tronc, l'étalon ronflota puis renifla l'herbe humide et piétiné par son poids, il releva la tête, n'aillant rien a mangé. il soupira, il se demandait combien de temps cela durerait, il n'avait pas envie de parler, des que le mauvais temps serait partie, il retournerai dans son prés, ou peu être....
il tourna la tête, regardant la jument puis se retournant, il souffla sur ses blessures. Il avait été attaqué par un félins et il ne l'avait pas ménager. il avait plusieurs entailles a l'encolure et quelque galle avait violemment arraché a cause des bille de glace. il soupira de nouveaux puis rabaissa l'encolure.

La grêles ne cessa pas pour le moment et le ciel s'assombrit encore plus. La tempête venait de commencer et pourtant elle était déjà bien prononcé mais le pire, du moins pour la jument ne tarda pas à arriver. En effet, de violents éclairs traversèrent brusquement le ciel avant qu'ils ne se répètent sans rythme continu. La paint horse sursautait à chacun de ses traits lumineux et son encolure s'abaissa un peu plus. L'arbre était utile mais pas complètement et les billes blanches les atteignaient par moment sans retenue. Poser de l'autre côté de l'arbre, son regard se posa sur l'étalon d'on elle aperçu pour la premières fois ses blessures multiples sur son corps. Redressant légèrement son encolure, les crins de son toupet retombant sur l'un de ses yeux, elle l'aperçu souffler sur ses blessures avant de rabaisser son encolure afin d'éviter la grêle. Contrairement à lui, Arizona n'abaissa pas son encolure mais l'observait curieusement. Ces marques la, elle les avait déjà vu pendant ses deux ans passer en plein nature de l'autre côté de la planète. Ronflottant brièvement, elle approcha doucement son bout du nez de l'épaule de l'étalon pommelé, veillant tout de même à ne pas le poser trop prêt du blessure. Juste après, elle sursauta brusquement quand un vif rayon lumineux sépara le ciel en deux. Décidément, elle n'était plus faites pour les tempêtes ..

les éclaires avait commencé a se pointé , toute les une plus violente que les autres. l'étalon ne fessait que tourner les oreilles, les rabaisser parfois et rabaissant l'encolure, se bruit était infernale mais il avait déjà eu pire. Il senti alors un souffle chaud prêt de son épaule, dans tout le froid, ce n'était surement pas une brise chaude. il tourna la tête pour constaté que c'était la jument pie. L'étalon n'étant pas du genre sympathique coucha les oreilles, naseaux dilaté, vers elle. Lorsque la petit paint sursauta, l'étalon fit de même, il se cabra doucement, tête en l'aire, laissant s'échapper un petit hennissement sourd. il retomba alors lourdement sur ses antérieure et fit comme rien n'était.

Les éclairs redoublaient toujours de force et semblaient bien loin de vouloir s'arrêter, pour le plus grand malheur de la petite paint horse. Sursautant à chaque rayon lumineux et rabaissant ses oreilles après chaque bruits elle était loin, très loin de pouvoir se calmer. Ce n'était peut être rien, mais elle en était presque terrorisé. Malgré l'orage, la grêle/pluie ne cessait pas et le seul point positif dans cette histoire était tout simplement le fait qu'avec ce temps, les palefreniers ne trouvaient plus l'envie de ressortir pour aller chercher les derniers chevaux. Ronflottant brièvement, la jument ne tarda pas à reculer dès que l'étalon se manifesta avec son air de "tueur" et son regard qu'il lui lança. Pour la première fois elle ne chercha pas à répondre, restant simplement sur place après s'être décalé de quelques pas. En attendant l'étalon avait sursauter à son tour et avait réagi avec force en se cabrant, faisant aussitôt sursauter la jument qui s'éloigna dans un brusque écart. Les oreilles rabaissé en sa direction, il devait bien comprendre qu'elle n'avait pas apprécier bien qu'elle avait la manie de sursauter ou de s'écarter pour un rien. A présent sous la pluie, elle s'ébroua vivement à plusieurs reprises avant de revenir à l'abri à l'aide de quelques pas hésitants.. Étrangement, elle ne semblait pas oser répondre et riposter aux actions de l'étalon, ce qui avait le don de l'énerver ou du moins de la troubler, elle qui n'avait jamais failli devant un équidé..

l'étalon voyant qu'il avait fait re-sursauté la jument soupira, fit comme un "non" signe de tête puis soupira,

"désoler"

dit-il d'une voix, il avait toujours une belle voix, mais il s'en foutait et il préférait ne pas l'utiliser. pour la première fois, il parlait, et ça, depuis fort longtemps. il lui avait présenter des excuse, ce n,était pas dans ses habitude, il ne la regarda donc pas quand il lui parla, le regard perdu dans la tempête.

((dsl,c'est court, j'devait faire vite ))

Les deux équidés étaient toujours dans le pré, sous la pluie battante et ses éclaires, protéger par un maigre arbre planté au milieu. Après son écart, la paint horse était revenue s'abriter en faisant quelques pas hésitant, plutôt troubler par l'étalon. En effet, depuis toujours elle avait trouver de quoi répondre ou se manifester envers les autres équidés qu'ils soit étalon ou jument et pourtant, avec lui tout dérapait. Malgré elle, elle ne se manifestait pas, allant même jusqu'à hésiter à revenir vers lui. Secouant brièvement son encolure pour ne pas risquer que cela se remarque elle revint donc vers l'arbre. Après un brusque bruit de tonnerre, un petit soupir se fit entendre de la part de l'étalon pommelée, il venait de s'excuser. Sans doute n'en était-il pas non plus très adepte car il ne la regarda pas. Peut-importe, chez elle aussi les excuses ne coulaient pas source, à croire qu'elle n'existaient pas du tout ! Arizona redressa une oreille avant de poser son regard sur l'étalon, après tout, peut-être n'était-il pas si terrible que cela bien que comme dit précédemment, elle ne tenterait pas plus que cela de s'en approcher. Le fait qu'elle ne puisse réagir comme à son habitude ne faisait que la troublait, ce qui la rendait vulnérable. Bref, son regard posé sur lui, elle lui lâcha un petit hennissement avant de finir par tourner la tête, observant les horizons un peu plus loin. Malgré qu'elle était trempe jusqu'au os, elle ne voulait pas du tout rentrer !

[dsl, vraiment aucune inspi sur se coup la -__________-'' )
sentant quelle posait son regard sur lui, il ne broncha pas, soupira a nouveaux. Il ferma les yeux, mais pas pour dormir, juste pour pensé a rien, fermer les yeux.

La tempête avait été annoncée depuis bien longtemps et c'est pourquoi les palefreniers avaient commencer à rentrer les quelques équidés avant que la tempête ne commence. La plupart des chevaux étaient ainsi au sec et au chaud, contrairement a l'étalon pommelé et à la petite paint à ses côtés. Tous les deux sous la pluie, maigrement abriter par un arbre, l'étalon finit par fermé les yeux et la jument se contenta de plonger son bout du nez dans l'herbe trempe du pré. Son corps était entièrement trempe, ses crins lui collaient à la peau et sa silhouette mouillé lui donnait une apparence d'un équidé mal nourri. Ronflottant brièvement avant se s'ébrouer, elle arracha quelques touffes d'herbes qu'elle mâchouillait en tenant son encolure basse à cause des litres d'eaux. Depuis le début, ils ne s'étaient pas prononcé un mot, évitaient de se regarder et pourtant, aucun des deux ne semblait vouloir s'éloigner. De temps en temps le regard brun de la jument se posait sur l'étalon mai dès qu'il ferma les yeux, elle cessa. Elle n'avait pas de raison bien précise mais elle cessa. Son regard porté sur les horizons un peu plus loin, elle soupira avant de replonger son bout du nez dans l'herbe. Le temps ou elle pouvait galoper comme elle le pouvait dans son désert était bien révolu et à présent elle se retrouvais sous la pluie, impossible d'évoluer plus rapidement à cause de cette fichu atèle noir qui lui compressait l'antérieur fracturé de plus en plus...

après quelque minutes, l'étalon tourna le regard vers la jument, l'observant silencieusement. son souffle était lent mais régulier, il était calme et rien ne disait qu'il allait dire un seul mot et pourtant...

La pluie avia pris depuis longtemps la place de la grêle, c'était plus agréable même si on était tout mouillé. Les crins du cheval étant tout collez a son corps et son pelage s'amincissait donc, dévoilant ses muscles ( ^^ ) il tourna la tête vers les écuries, ahhh, c'est vrai qu'on était bien en liberté, mais êter au sec et au chaud, c'est bien mieux.. en tout cas, il soupira puis revint a la jument.