The Horse and Pony
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 We remain those that we are

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ARIZONA
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MessageSujet: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyLun 19 Avr - 23:12

  • Aujourd'hui, la journée avait été longue et j'avais cru ne jamais pouvoir y voir la fin. Je n'étais revenu au domaine que depuis trois jours et ni mon frère ni Adriana ne m'avait laissé respirer. Je devinais très bien qu'à l'attitude qu'ils prenaient avec moi il n'avait pas oublié les trois mois ou j'avais disparu du domaine et qu'ils ne semblaient visiblement pas vouloir oublier l'incident tout de suite, ce qui ne me rendait pas les choses faciles. Il faut dire que, je préférais tout oublier.
    Bref, m'apitoyer sur mon sort était loin d'être ce que je préférais et c'est pourquoi j'avais quitter ma chambre dès que j'avais pu passer entre les filets de mon frère et de la jeune femme. J'avais la grande impression d'être sous tutelle et cela avait le don de m'énerver.
    J'avais conscience que j'avais changé et que je n'étais plus du tout le même qu'avant, mais que voulez-vous, après ce que j'avais vécus, il m'étais impossible de tirer un simple très dessus. C'était bien trop encré dans mon esprit et les blessures qui recouvraient mon corps parlaient d'elle même. Certes elles allaient finir par s'en aller, mais je ne manquerais pas de retourner me venger, après tout, je ne risquais plus rien ! Je n'étais plus rien désormais ...

    J'avais donc quitté la chambre à la hâte, soulagé de ne pas être épaulé ou observé sur mes moindres fais et gestes et j'étais parti en direction du bar. Il faut dire que c'était un peu le seul endroit ou il pouvait se tramer quelques personnes. Le trajet avait été rapide et sans ennuis. Ces derniers arrivants toujours en fin de soirée, quoique, aujourd'hui sans le savoir j'allais tout changer.
    En effet, il devait être huit heures lorsque j'étais rentrés dans le bar. J'avais aussitôt été assaillis par mon groupe de potes que je n'avais pas revu depuis trois mois. J'avais du répondre à leur multiples questions jusqu'à que je ne m'en lasse. Ok, cela faisait longtemps que je ne les avais pas revu mais je n'étais pas venu ici pour ça, loin de là. Me désintéressant du groupe, je m'assis sur un tabouret positionné devant le comptoir. Le barman ne tarda pas à venir me servir et je commandais aussitôt une bouteille de bière.
    Malheureusement, je n'eus même pas la chance de pouvoir la tenir dans ma main qu'une voix m'interpela. Je tournais donc la tête avant de reconnaître l'un des membres du groupe que j'avais quitté et qui tenait à savoir ce qui s'était passé durant mes trois mois d'absence. Bien évidemment je refusais, je ne voulais pas en parler, ce n'était de loin pas mon genre et il n'avait pas apprécier. Il continuait d'insister, devenant de plus en plus pressant et je m'étais redresser avant de soupirer. Malgré ça, il continua et comme j'étais blessé d'un bras je me contentais de le repousser, mais ce fut visiblement ce qui l'irrita le plus. Il se rapprocha de moi en espérant de moi que je recule mais je ne bougeais pas. C'est comme çela que je fus mis dehors sans plus grande explication.
    Je n'étais pas inconnu dans le bar et le videur n'avait pas voulu une quelconque dispute et j'avais été foutu dehors, tout simplement. Il m'avait empoigné au col avant de me jeter dehors. Et ben, je démarrai fort, ou allais-je passer la soirée à présent ?
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Keiji Nishina.

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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyLun 19 Avr - 23:42

  • Deux heures, cela faisait deux heures que je moisissais dans ma chambre, le dos plaqué contre le mur. Mon sac encore fermé trônait sur mon lit comme un prince, pendant que mes fesses épousaient la moquette vaguement sale de ma nouvelle chambre. Je soupirai un coup, expulsant l'air de mes poumons qui devaient être dans un état lamentable après quelques années de tabac et drogues en tout genre. Une quinte de toux me saisit, c'était habituel mais dérangeant, j'avais l'impression à chaque quinte que j'allais finir par cracher du sang voir même mes poumons. Cinq minutes après, la gorge en feux, la toux se calma tranquillement. Je pris une grande inspiration pour finir de calmer la toux. Je me grattouillai la tête machinalement, sentant quelques fourmis sous mon postérieur je finis par me lever. Ce n'était que au bout de heures que j'avais finit par ressentir les fourmillements sous ma peau ... La drogue et l'alcool étaient vraiment entrain de me bouffer, un humain normal se serait levé au bout d'une demi-heure ... J'étais là depuis deux horribles heures.

    Pendant que ma main massais mon postérieur, je pris mon paquet d'herbe, un peu de tabac et de quoi faire d'éventuelles cigarettes améliorées avant de sortir de mon trou à rats, la sangle de ma guitare sur l'épaule et la guitare se balançant contre mon flanc. Une fois dehors l'air frais m'arracha des frissons sur mon échine uniquement couverte d'un T-Shirt noir large d'un groupe appelé 'AqME'. Mon jean large, de couleur foncée était remplis de trous au niveau des mollets et des cuisses, résultat d'heures d'ennui passées à faire des trous à coup de ciseaux. La seule partie de mon corps vraiment au chaud, c'était mes pieds couverts de Vans épaisses de couleur noire. Vieux réflexe sûrement, je me dirigeai vers la ville. Mon portable vibra une fois dans le centre ville. Un message de ma tante "Hello, es tu arrivé ?". Un sourire sadique s'esquissa sur le coin de mes lèvres. J'avais envie de l'appeler et lui dire ses quatre vérités. Je me retins, vérifiant l'heure et remettant mon portable dans la poche avant de mon jean. Huit heures et des bananes ... L'heure d'aller au bar prendre une cuite.

    Apparemment, ici les coutumes étaient bien étranges. Mon pied venait de se poser sur la terrasse de ce qu'il semblait être le seul bar de la ville. Et j'eus le droit de voir un magnifique spectacle, ce qu'il semblait le videur était entrain déjà de mettre quelqu'un dehors. Ils n'avaient pas l'air d'aimer les excès là-dedans ... Mauvaise idée donc d'endroit, j'aimais bien être défoncé jusqu'à l'os et provoquer des bagarres, je gagnais souvent surtout depuis que j'avais un couteau rangé dans la poche de mon jean et un autre parfois sur mon avant-bras les jours où je m'étais une veste par précautions. Puis dans New-York vous apprenez facilement à vous battre. Bref, revenons à euh ... Oui ! Le type qui se faisait sortir. A sa place j'aurais logé mon poing dans la face du videur pour ajouter de la couleur autour de son œil. Nous n'avions pas les mêmes valeurs apparemment. J'étais d'une humeur taquine, trop peut être ... Non pardon, pas assez. J'avais passé trop de temps enfermé pour enfoncer ce pauvre gars qui venait de se faire sortir, que Dieu m'en pardonne.

    » Quel charmant accueil, c'est souvent comme ça par chez vous ?

    Je l'observai de mes yeux noirs, la guitare pendant toujours à mes côtés, un sourire amusé dessiné sur la commissure de mes lèvres. Si c'était comme ça par tout dans cette ville, je n'allais pas tarder à foutre le camp et très loin, je le sentais. Je me demandais aussi si c'était mon allure, la guitare avec moi, mon côté défoncé depuis des lustres, ou juste ma tête de chinois, mais un groupe de gars commençait à se rassembler dans le bar me jetant des regards peu favorables. Dans un ancien temps, avec mes amis, on serait rentrés et on leur aurait fait regretté. J'étais seul et mon p'tit couteau ne pourrai rien pour moi si mes craintes étaient fondées ... Ma tante m'avait apparemment fourré dans un trou à rats ... Et j'étais seul. J'allais pour le moment opter pour l'option sage que je détestais : arrêter de les fixer et faire le gentil japonais que tout le monde aime. Dur ...
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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyMar 20 Avr - 23:47

  • Aujourd'hui, et comme tous les soirs depuis bien longtemps j'étais partis au bar dans l'optique de me boire quelques verres et pourquoi pas plus si l'envie me prenait. Malheureusement, les ennuis n'avaient pas tarder à s'installer et comme j'étais encore blessé de mes trois mois passé en "enfer", je n'avais que pu passivement réagir. C'est pourquoi je l'avais poussé au lieu de lui coller mon poing dans la figure et c'est également la raison du pourquoi je n'avais pas plus amplement réagit envers le videur. Je m'étais contenté de l'observer froidement avant qu'il ne retourne à l'intérieur, ne désirant surtout pas s'attarder. Je posais alors une main sur mon épaule blessé ( Il se l'était démise ) avant de soupirer quand une voix quelques peu railleuse s'adressa à moi. Je me tournais brièvement de quelques pas afin de poser son regard sur l'inconnu qui se dressait devant moi.

    Ses yeux noirs étaient posés sur moi mais je n'en fus pas plus dérangé, j'en étais moi même un adepte quand il le fallait. Je le dévisageais alors froidement sans même m'en rendre compte, et je m'en souciais guère. Il devait être nouveau, je ne l'avais jamais vu et il faut dire que les chinois ne courait pas les rues dans cette ville. Hochant finalement la tête, je me rappelais qu'il m'avait posé une question. Et bien, que me voulait l'artiste ? Je posais alors un bref moment mes yeux sur la guitare pendu dans son dos avant de me décider à lui parler. Après tout, ça n'allait pas me tuer et les mauvaises rencontre non plus. Mais que disais-je, peut-être était-il le parfait homme sage qui se contentais d'un verre de Coca Cola au bar le plus branché de la ville. Mais je m'égarais une fois de plus ! Il m'avait vu sortir d'une manière peu conventionnelle du bar et il m'en fit aussitôt la remarque, était-ce toujours ainsi ici ?

    - D'habitude c'est pire .

    C'était bref mais largement suffisant. Après tout, s'il connaissait les alentours d'un bar, il ne méritait pas plus de détail.

    Je me détournais alors de quelques degrés afin de voir ce qui semblait préoccuper le jeune homme à quelques pas de moi. Un peu plus loin dans le bar, se trouvait un groupe de gars, que je connaissais très bien car ils n'étaient autre que ceux avec qui je trainais, qui ne cessait de l'observer. Pour être clair, les disputes et les embrouilles étaient de mise chaque soirs et pourtant, encore personne n'avait été exclu définitivement du bar, sans doute en raison de cause. Quoi qu'il en soit, l'inconnu qui s'était peu avant adressé à moi arrêta de les fixer voulait-il abaisser les tensions ? La dessus, un bref sourire cynique se dessina sur mes lèvres avant que je ne repose une main sur mon épaule blessé. Bien, la soirée allait-être longue si je ne me décidais pas à re-rentrer dans le bar ou trouver une autre activité...
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Keiji Nishina.

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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyMer 21 Avr - 23:08

  • Pire ? * Pire comment ? * Je laissais mon imagination se rappelait des belles bagarres de New-York ... Bon d'accord, dans un bled comme celui-ci, ça devait pas être aussi magique que là-bas. Un soupir sorti de mes narines. La soirée allait être longue, j'allais sûrement trouver un banc, me faire ma clope améliorée, puis traîner, traîner et traîner ... Deux heures après ma clope je serai sûrement en état de rentrer ... Rentrer ? Non, je voulais passer la soirée en transe comme on dit, ne pas rentrer avant trois heures du matin comme avant ... Mais avec le peu de drogue que j'avais ... Je fis la moue, une de ses grimaces qui font comprendre aux autres que dans notre tête un dilemme est en état de résolution. Je jetai un coup d'œil dedans. Le groupe s'était apparemment détourné de moi, l'attention était portée sur le flot de bière qu'ils avalaient à chaque fois comme s'ils faisaient une sorte de course pour savoir qui s'enfile le plus vite son verre.

    J'observai mon voisin à quelques pas de moi se toucher à plusieurs reprises son épaule. * A bobo ? * Gardant mes pensées pour moi, je poussai la porte du bar : Alcool. Deux bouteilles de Vodka ferraient l'affaire. Non consommées sur place je vous rassure, j'aimai bien finir ivre mort mais dans mon coin, pas en public et encore moins dans un de ces endroits à problèmes. M'approchant du bar, je passai ma commande, optant finalement pour une bouteille de vodka et trois bouteilles de bière, le joins finirai de me rendre bête comme si j'avais pris deux Vodka. Je ressortis du bar, les regards du groupe de gars reposant de nouveau sur moi. Décidément mes amis m'aimais très fort. Je jetai un regard au gars et me plantai en face de lui. Théoriquement s'il venait de se faire éjecter, il n'allait pas rentrer de si tôt. C'était le seul bar de la ville ... Même si je n'aimais pas la compagnie, finir ivre à deux c'est toujours plus fun non ? Prenant mon courage à deux mains, j'ouvris la bouche une nouvelle fois, bouteille de Vodka dans une main, les trois petites bouteilles de bière entre les doigts de l'autre main.

    » You can ... Euh sorry hum ... tu peux venir s'tu veux. Fin, si t'aime bien boire.

    Fichues habitudes de parler anglais ! Il fallait toujours que ça m'arrive, je parlai avec un gars et pof je parlais anglais comme ça, sans raisons. A part passer pour un idiot, je vois pas ce que je faisais à chaque fois que cela m'arrivais. J'attendais sa réponse comme un pauvre perdu, en priant pour qu'il se dépêche de répondre ... Deux vilains messieurs dedans commençaient à se lever. Et vu les regards qui pesaient sur moi, c'était pas pour me serrer la main et rigoler un coup avec moi. Mon regard se fit pressant, un semblant de nervosité passa sur mon visage, je n'avais pas l'habitude d'être confronté à ce genre de situation sans mes amis et leur armes. C'est dur la vie.
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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyLun 3 Mai - 22:30

  • Comme j'avais été foutu dehors par l'un des videur du bar, je ne risquais en effet pas d'y rentrer à nouveau pour la soirée. Je devais donc me trouver quelque chose à faire et au plus vite car la patience n'était pas vraiment mon fort. Alors que je divaguais à nouveau sur mon épaule blessé, l'inconnu qui s'était adresser à moi s'éloigna afin de rentrer dans la salle. Enfin ! Je n'avais toujours pas compris pourquoi il avait attendu si longtemps. Quoi qu'il en soit, je me retrouvais seul et je soupirais déjà d'être venu à pied jusqu'ici, mais qu'est-ce qui m'était bien passer par la tête ? Je me retrouvais donc coincé ici en ne pouvant rien faire... Je laissais donc divaguer mon regard sur deux jeunes femmes qui s'approchaient du bar, sans doute dans l'optique de passer une bonne soirée. Les suivant ainsi du regard, je tomba finalement sur le jeune homme d'avant. Je sursautai brièvement, quel changement. Je finis de jeter un coup d'oeil aux deux jeunes femmes avant de revenir à l'autre, que voulait-il ?
    C'est alors que j'aperçu les quatre bouteilles qu'il tenait dans ses mains et je souris brièvement. Mais qu'elle bonne idée. Il commença alors à parler en anglais avant de se rattraper. Tiens, lui aussi ne venait-il pas d'ici ? ET heureusement, il n'y avait rien à faire ici !

    Si je voulais venir pour boire ? Quelle question ! J'étais de la partie, je n'avais plus rien à perdre de toute façon ! Seulement, ou comptais-il aller ? Car au niveau endroit brancher, cet endroit était à oublié et pour un endroit plutôt calme, il ne restait que le parc, et encore, si on avait de la chance.

    - Et tu comptes aller ou ?

    Peut-être avait-il une idée.
    Peu importe, j'attendrais qu'il se décide et je n'aurais qu'à le suivre. Une seule chose m'intriguait, d'ou venait-il ? Son accent anglais d'Amérique ne m'avait pas échappé, au contraire. Sûrement devait-il venir d'une des villes que j'avais du quitter malgré moi ...

    [Cour Mais je me rattrape au prochain =) ]
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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyJeu 24 Juin - 12:42

  • Mon habitude des villes m'avait permis de savoir où il fallait aller pour boire & se droguer histoire de finir à moitié mort sans que quelqu'un viennent vous chercher des noises.

    « In the ... fin le parc. Paraît que vous en avez un par ici, tu dois savoir où c'est ?

    Je l'observai, repensant un instant à ce que je venais de dire, départ en anglais, rattrapage en français. Je ne lui avais pas tout sorti en anglais, c'était toujours ça de fait. Je me contentai de lui faire un petit sourire amical. D'après mes petits renseignements, c'était à quelques pattés de maisons de ce bar. Les gens iraient surement donc au bar et non pas dans ce parc. Je me mis donc en marche, on allait bien voir si il me suivrait ou pas ce gentil monsieur à l'épaule blessée. D'ailleurs, je me demandais ce qu'il lui était arrivé, peut être que s'il me suivait, après quelques gorgées d'alcool & mon joins, je prendrais le temps de lui poser la question, mais c'était le moment d'aller boire un coup et de mettre les questions personnelles au placard. Puis moi, je n'aime pas qu'on se mêle de moi, alors pourquoi me mêler des autres ...

    A peine dix mètres parcourus, j'entendis la porte du bar s'ouvrir, je me retournai brièvement pour observer mes amis sortirent du bar d'un air pas gentil. Je m'arrêtai pour écouter ce qu'ils voulaient apparemment me dire ...

    « Qu'on revoit plus ta sale tête ici l'asiatique !

    Bon ça va, ils n'avaient pas dit le chinois, après tout venant du Japon c'est gênant de rencontrer des gens qui vous croit venu d'ailleurs. Je me remis en marche en les ignorant, et ne faisant pas vraiment attention à regarder si le blessé me suivait ou pas ... la flemme.


    [ Court vraiment désolée =/ ]
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MessageSujet: Re: We remain those that we are   We remain those that we are EmptyMar 29 Juin - 1:17

  • Si je savais ou se trouvait le parc ? Qu'elle question. Je ne pouvais même plus compter les nombres de fois ou j'y avait été pour un peu de tranquilité et bien souvent un peu plus. A nouveau, l'inconnu commença sa prhase en anglais, ce qui ne m'échappa pas. Il faudrait que je lui demande d'ou il venait, après tout, peut-être avait-il subit le même sort que moi. Peu importe, je lui en demanderai plus un peu plus tard.
    Il s'était alors mis en marche et je lui emboîtais le pas peu après, mais pas pour longtemps.
    Il s'était en effet arrêter lorsque un groupe de jeune homme sortirent du bar et lui lancèrent quelques mots amères. Ils ne souhaitaient plus le revoir ici. Je me contentais d'hocher la tête, après tout, cette bande de voyou n'était autre que ceux avec qui je passais le plus clair de mon temps. L'inconnu les laissa dire avant de se remettre en route. Je l'observais avec un bref sourire avant de me décider à lui parler. Après tout, faire cent mètres de plus ne m'enchantait guère.

    - Ouais, suis-moi, sauf si sa te dit de faire un détour inutile !

    Laissais-je entendre avant de le regarder. J'attendis quelques secondes afin de voir une éventuelle réaction de sa part et je filai entre deux pâté de maison, m'enfonçant dans une ruelle sombre. La parc était juste de l'autre côté et j'étais persuadé que ce n'était pas se passage sombre qui allait ralentir le jeune homme. Il me paraissait beaucoup plus coriace que ce qu'il donnait comme impression. Quoi qu'il en soit je n'étais pas le mieux placé pour constater les choses.
    Je finis par sortir de ce passage et mon regard se posa aussitôt sur le parc de l'autre côté de la route.

    Voilà, il ne restait plus qu'à voir ou il comptait aller. Très certainement un endroit herbeux, ce qui serait plus décent pour y passer une nuit après un certain nombre de pour mille dans le sang...
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