Ivocation. Libre

Invocation. -- Libre

Paroles rapportées d'une soirée bien étrange, Brooklynn désespère, seule :

« Ô douce brise printanière, dit mois qui je suis, raconte moi pourquoi le monde est-il si injuste. Je ne peux voir, je ne peux comprendre et je ne sais pourquoi. J'avance sans même savoir ou je vais car la seule chose que je vois est l'obscurité totale, le noir, le néant. De jours en jours je frôle la déchéance sans même savoir pourquoi. Je veux vivre, je veux voir ta beauté et ta splendeur. Ton tendre regard me manque ô douce brise. Malgré cela, je peux ressentir ta fraicheur s'abattre sur mon poil fin. Je ne peux connaître l'amour, l'amitié et la haine, je sais simplement que le désespoir et la déception sera constamment près de moi. »

Bien étrange la noire, elle se plaint à elle-même mais ne parle pas de son malheur aux autres. Qu'elle est belle la noire ! Derrière ses yeux bleus remplis de nostalgie et de mélancolie se cache le plus grand des cœurs. La belle avance, elle se perd, elle ne sais pas où elle va car elle vois uniquement ce fond noir, c'est à dire rien. Ce handicap la déprime, la tue intérieurement et pourtant elle a ce cœur en or que si peu d'équidés ont ... Elle est si belle, ses yeux sont si troublants et dit qu'elle ne vois rien ...

« Je vous pris, apportez moi la vie, la vraie vie, celle qui nous rend heureux car moi je ne rend heureux que les autres. Ô Dame Nature, je vous conjure, rendez moi espoir. L'espoir de vire, de continuer, d'avancer et d'évoluer. En un an, j'ai tout perdu, les hommes me battent, les autres équidés me rejettent, s'il vous plait, répondez moi, qu'ai-je donc fais pour mériter tout cela ? Vous savez, vous me faites peur, je ne vous voix pas mes je vous entends, je vous sens, je vous ressens lorsque vous passez à mes côtés. Raillez moi, insultez moi, faites ce qu'il vous chante, créez des différends si cela vous fait plaisir mais par pitié ne me faites pas de mal physiquement, le moral n'est déja pas mon fort alors s'il vous plait laissez moi tranquille. »

Sur ce, la noir tourna le dos et partis dans une direction inconnue en prenant garde de biens lever les sabot, de bien renifler le sol afin de ne pas s'écrouler et enfin gésir sur le sol boueux.

(j'arrive XD )

Rebel était au boxe depuis au moins une heure ! Ce qui l'ennuyait fortement ! Et oui le petit dadou n'aimait pas rester calme, il avait besoin de se défouler, pouvoir courir sans limite. Il voulait aussi beaucoup s'éloigner des humains, il en avait peur. L'étalon tournait dans son boxe. Il tapa violamment puis essaya d'attrapper le loquet de la porte pour pouvoir sortir. Il tira dessus puis ouvrit la porte. Des claquements de sabots se firent entendre dans l'écurie. Il en sortit un peu brusquement en bousculant un palefrenier qui lui commença à lui courir après, mais l'étalon était plus rapide. Il abandonna rapidement puis repartit à ses affaires après d'avoir prévenu quelqu'un. L'étalon galopait crinière au vent, le temps était un peu couvert, mais cela ne le dérangait pas. Il ne pensait qu'à une chose: courir, s'évader, être libre. Galopant toujours à la même vitesse, il sauta des troncs d'arbres qui étaient dans la forêt puis traversa une rivière rapidement et s'ébroua par la suite. Il se roula dans de la boue pour se faire plaisir ainsi qu'à celui qui le retrouvera... ^^. Il repartit au trot et lança des hennisements espérant trouver quelqu'un, de la compagnie. Il partit brusquement au galop, il glissa plusieurs fois à cause du sol qui était mouillé. Quelques jours sur le centre s'était abattu une violent orage ce qui rendit les terrains impassable sauf pour des chevaux fous ^^. Il passa au trot puis tout à coup sentit une odeur connue, celle d'un cheval. Il lança un hennisement puis passa au pas tranquillement. Il vit au loin une jument noire avec des yeux bleus. Il s'approcha d'elle gentiment. Si elle contait sur lui pour la ramener, s'était pas le bon alors !

» Wildfire (libre)
» [libre 1 perso']
» galopade [ Libre ]
» Libre a tous!
» Shopping [ Libre ]