I want to know why I'm like you... [Harvest Triumph]

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Le ciel était gris, une averse se préparait, le sable n'était pas d'orée mais plutôt blanc, même tirant vers le gris. Partout ou j'allai, il ne fessait jamais beau, jamais chaud jamais bon de vivre et c'était tant mieux! Un vent maritime soufflais dans mes crins, les fessant dansez comme des ballerines noir dans l'air froid. Les vagues n'inspirais pas la bienvenue, mais surement pas autant que moi, l'eau était noir et les drap foncés s'échouaient violemment sur le rivage, s'étirant le plus possible pour tenter de s'approprier une autre parcelle de la terre ou nous pouvions marcher, je les y encourageais tous, j'avais hâtes a la fin du monde et elle m'aidait a la faire venir plus vite. J'n'était pas une personne que tous voudrais croisez sur leur chemin, se serrait plutôt le contraire. Je m'amusait a tuer, c'était comme un passe temps et en parlant de tuer, un écureuil a eu le malheur de passer près de moi tantôt, croyez moi, je ne l'ai pas laisser partir, c'est tellement marrant, défoulant. Planter mes dents acéré et déchiqueté sa cherche, fessant aller du sang partout sur mon visage. de tuer les autre et en plus je trouve que je leur rend un certain service en les livrant a la mort plus tôt, il souffrirons de la vie moins longtemps.

Mes sabot s'enfonçant dans les sable humide et se fessant par moment toucher par l'eau de la mer, je baissait l'encolure en donnant un coup vers l'avant, montrant mais dent acéré et meurtrière. je déteste qu'on me touche même si c'est la nature, je déteste. Je m'éloigna alors de la, j'navait pas envie de me battre contre une force plus grande que moi. C'était elle qui m'avait donner la vie mais en même temps, j'avais une grande haine envers mère nature, elle m'avait rendu vivante et cela, je ne lui pardonnerais jamais! alors que je marchait d'un pas légé et cadencé, mon dos, mon encolure et mes jambes souple et agile évitant les vielles algues séché ou encore humide et tout autre sorte de débris qui recouvrait cette plage.

* pourritures* me disait-je en regardant les chose écœurante qui jonchait le sol. J'navait pas envie de plus alors je releva la tête, contemplent l'horizon, des kilomètre de plage était devant moi et juste à ma gauche , la fin de celle-ci se montrait facilement le bout du nez, l'herbes poussait la bas et moi, je n'aime pas voir la vie pousser et surtout pas le bonheur des gens. En regardant le paysage morne, je constata une silhouette au loin, un étalon, il avait l'aire beaucoup plus puissant que moi mais bon, j'nallait pas me décliné, j'ai détruit plus gros et grand que moi, plus fort et plus endurent, je les ai tous anéantie. Je m'arrêta, le fixant, le regard remplie de rien et de tout, le regard perdu. Il avait l'aire un peu comme moi, perdu, pas physiquement, mentalement.[/center]

[bon c'est pas super mais bon!]

[ mais non, c'est super bien écrit! ]

Je le fixait toujours, il avait l'aire de savoir quelque chose, quelque chose que j'aurais préféré garder pour moi seul mais non, il fallait toujours qu'on se mettre dans mon chemin. Avec toujours un regard de terne, elle continua a le fixer avant qu'il finissent par dire d'un ton étrange que le ciel était avec nous, oui en effet, aurais-je voulu répondre mais je n,en était pas capable, je dut trouvé et chercher a l'intérieure de moi se que je cherchait pour répondre, se qui m'arrivait n'était pas normal. Impossible d'expliquer se que c'était, comme un sentiment de culpabilité ou plutôt de peur et surtout, un sentiment que je connaissait trop bien, la haine. Il me fallu un moment avant de lui donner une réponse audible.« en effet... » dit-je d'une voie très peu audible, presque un chuchotement enfaite. Je recula d'un pas incertain, couchent les oreille sur ma nuque, le fixant d'en bas puisque j'avait l'encolure baiser.

il s'approcha pour me chuchoter des mots a mon oreille, un question à la quelle je devait répondre. Ahhh, les question, j'en ai entendue trop dans ma vie, des "pourquoi fait-tu cela?!" et des "qu'est-ce qui te prend?!" mais cette fois ci, elle était différente, c'était une question sur lui et ce n'était pas avec un ton troubler, plutôt sans expression. Le souffle chaud de l'étalon heurtant doucement mon oreille. Après qu'il m'ai posé sa question, je recula pour l'observer, d,un regard qui voulait dire *pourquoi tu me demande ça a moi...? je le fixa dans ses prunelles. Ce que je vis ne se décrivait pas, c'était comme si il savait, comme si regrettait et comme si peut être le sentiment de la tristesse ou plutôt la désolation, peut être même la souffrance ou la honte...

il y avait trop de chose dans sont regard, on s'y perdait facilement dedans.


je ne répondit rien, i me troublait dans tout les sens...

« Mon souffle est peut-être chaud, mais moi je suis aussi froid que la glace, dur tel une tombe faite en marbre, morose comme un vieux film dramatique. »

Ta réponse, je l’attendis, encore et encore. Toujours. Jusqu’à ce que je meure. Je ne suis pas éternel, et tant mieux, je n’ai que cinq ans, ma vie est difficile, j’espère mourir, alors imagine si j’avais l’éternité devant moi. L’horreur. Il vaut mieux vivre une courte vie faite de plaisirs suaves qu’une éternité morbide. Petit je m’étais imaginé sur mes terres dans plusieurs millénaires, c’était un fantasme, le même que celui des hommes. Maintenant je m’imagine dans le passé, je n’avance pas, je suis resté au fond d’un trou, je creuse, je finirais par arriver en Enfer. J’aimerais te raconter mon histoire, je ne peux pas, non, pas tant que tu ne m’as pas fais part de la tienne. Regarde-toi, regarde- moi. Je suis ici, je t’ai trouvé à cet endroit. Ressens cet été hiémal, regarde cette grisaille et maintenant dit toi, pose-toi bien cette question, ’’ pourquoi suis-je ici ? ‘’ . Tu es ici, c’est tout, tu ne peux pas répondre à cette question car tu erre, ressaisis toi, je sais que tu vaux bien mieux que cette foutue damnation.
Contrairement à moi. Je suis persuadé que tu as une famille. J’ai un oncle, un enfoiré. Il a tué mes parents, a prétendu qu’ils s’étaient fait attaqués par un grizzli grincheux et maintenant, il est à ma place, il domine toute une partie de la côte ouest des Etats-Unis, il dirige mon empire, mon héritage, et je ne fais rien, tel un lâche. C’est peut-être bien ce que je suis, un pauvre type, un nul, un damné, un lâche, un trouillard. Un con. Je contemple tes yeux, tu vaux plus que moi, tu as beaucoup de courage, retourne chez toi, arrête de tuer des innocents et tu verra, la vie te sourira. Pour que je sois heureux, je dois trouver un moyen de le détrôner, de le démembrer et de l’étriper. « c’est ici que l’histoire s’arrête. » Soufflai-je, je ne pouvais pas parler à haute et intelligible voix, j’avais trop honte ; de moi. « au revoir » continuai-je sur le même ton. Je pris une légère inspiration, me tournai et partis. Je marchai tête baissée, mes yeux scrutant le vaste horizon. Et je soupirai une nouvelle fois. Encore et encore.

(court, très court.)

(mais nan, c'est pas court, moi je serait jamais capable de me comparer a toi, c'est trop beau se que tu fait! ♥♥♥)

Je le fixait, sans le lâcher des yeux. Il penssait, et parfois, je voyais sa penne en lui mais, qui suis-je pour juger la penne des autre, je l'ai souvent faite. c'est maintenant que je me rend enfin compte que se que j'ai fait ne méritais pas d'être fait. Je me rend compte maintenant, a cette instant précis, que je ne vau plus rien et que la seul chose que je peut faire, c'est de suivre mon instinct, de suivre la destinée qui m'est réservé, surement une vie de pourriture, surement que, ils me le feront payé tout ses morts. Une des seul chose que je n'arrive pas a comprendre, c'est que pour moi, c'est difficile, peut être est-ce tout simplement le changement, d'arrêter ce carnage mais au fond de moi, cela ne m'a jamais vraiment déranger, c'est autre chose qui me préoccupe.Je voie en toi, une chose que jamais je n'ai vue, ce N,est pas une émotion, une sensation ou dans se genre la, je ne peut pas l'expliquer, c'est comme si nos chemin devait se croisé, comme si tu était la pour m'aider et moi pour t'aider. Je ne peut pas expliquer cela, je n,ai jamais ressenti une chose pareille mais toi et moi, on a quelque chose en commun. Quand tu me dit que c'était la fin de l'histoire, je ne pu m'empêcher de relever l'encolure légèrement, comme si j'avait été dans la lune pendant tout se temps, peut être était-ce le cas. Quand tu te retourna pour ensuite repartir, se fut impossible de résister a se que tu ne parte " non... ne, ne partez pas... " dit0je d'une voie quelque peu timide et presque inaudible.

(oops, double compte dsl)