L'arriver en plienne nuit!

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 07/07/2010

Un camion arriva assez vite, c'était la nuit. La pluie tomba sur cette partie de la terre. Quand le camion arriva il autait la remorque du camion et il reparti dans crissement de pneu. Il laissa la remorque de la boucherie ici et ainsi que l'étalon qui était dedans.

Je sentis la remorque arrêter, puis j'entendais un crissement de pneu qui me fit cabrer dans la remorque non conforme pour une cheval. J'étais sale et immatriculer de toute sorte de cochonneries d'un abattoir. L'odeur des animaux morts dans cette boite me monta au naseaux, je n'avais ni nourriture ni eau. J'étais déshydratée, je commençais a hennir et a ruer dans cette petite chose qui puait la mort. Je ne s'avait pas ou je me trouvais et encore moins qu'elle temps faisait t-il dehors je n'en savait rien.Tout ce que je voulais c'était de sortir d'ici,et de pouvoir courir loin des hommes qui m'avait fait temps souffert.
Je continuais ainsi pendant toute la nuit. Je pouvais entrevoir dehors pars les petite fenêtres, le soleil ce levais et je recommençais a ruer et a hennir j'était a bout de force. J'en avait assez pour essayer de me sauver d'ici.

Adriana avait eu une dure journée. Après de s'être douché, mit en pyjama, la jeune femme alla rapidement se coucher. La fatigue gagnait sur elle et après 2 minutes elle s'endormit. En fin de soirée, un camion s'approcha avec une remorque avant de la déposer dans la cour. Bien sur, vu l'état de la jeune femme qui était très fatiguée, elle ne l'entendit pas.

Au lendemain, la jeune femme se leva avant de s'habiller tranquillement. Prenant son déjeuner, elle décida d'aller voir sa jument. Sortant du bâtiment principal, elle passa par la cour et remarqua la remorque qui elle faisait beaucoup de bruit se dépéchant d'approcher. Elle regarda et aperçu que c'était une remorque de boucherie. Adriana en fit le tour et aperçu une petite porte. Elle l'ouvrit et regarda dedans. Elle y vit un étalon magnifique qui s'énervait dans celui-ci. Un sifflement sortit doucement de sa bouche pour attirer l'étalon. Comment pouvait-t'on laisser un cheval ici sans eau ni nourriture...

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 07/07/2010

Quand je vie la porte s'ouvrir le soleil m'aveugla, je paniqua encore plus, la porte n'étais pas assez grosse pour que je puisse sortir par la.
Quand j'entendis un sifflement mes oreilles avait pointé dans la direction ce qui me captiva pendant quelque minute.
J'avais peur des hommes et cela paraissais dans mon regard et la façon que je réagissais, je reculais au fond de la remorque. Je voulais sortir et en même temps non cars j'avais maintenant une peur bleu des hommes. L'odeur de les animaux morts avait été dans la remorque empesta l'aire. Mon pelage était imatriculer de boue, de m*r*e et de autres chose que l'on n'ausait dire.

*Mais ou je suis-je donc arrivé*

La jeune femme avait ouvert la porte de la remorque de boucherie. En l'ouvrant elle y aperçu un magnifique cheval. Mais celui-ci était complètement paniqué. Le regardant simplement, elle fit un sifflement et il recula. Le pauvre... La jeune femme ferma la porte et alla ouvrit derrière, heureusement qu'il y avait une barre qui le tenait encore car si elle ouvrait la remorque et que le cheval faisait un bond pour sortir... La jeune femme resta devant lui tranquillement. Le regardant elle l'appela doucement.

"Eh mon beau. Tout doux, je vais rien te faire !"

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 07/07/2010

Je restas au fond sans broncher, j'étais tromatiser de mon expérience ici. Mais après une couple de contact avec une même personne je serais donnée ma confiance a celui-ci. Je regarda donc la jeune femme le van avait une barrière qui m'empêcha de sortire. Je l'écouta doucement sa voie me calma peu a peu, je n'avais jamais atendu une voie aussi calme et déterminer.

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