Mauvaise tournure.

Ce samedi matin, je m'étais levée plus tard que d'habitude car j'avais préféré trainasser au lit que ne rien faire debout dans la chambre. Je n'avais rien de prévu aujourd'hui, hormis la soirée de ce soir. Disons que, c'était plus une habitude des samedis soirs que de quelque chose d'exceptionnel.
Je n'avais, depuis trois jours plus le droit de m'approcher de Vegas qui avait attrapé une maladie contagieuse et mon nouveau protégé dont personne n'était encore au courant n'allait pas arriver avant deux semaines- C'était donc une journée des plus calmes. Au bout de trente minutes je me décidai à me lever. J'embrassa Mike une dernière fois avant de quitter les draps et de filer à la salle de bain. Je me rafraichit juste le visage afin de m'éveiller tout en douceur. Je n'allais rien faire de spécial aujourd'hui avant le soir.
Je décidai donc de me mettre aux tâches ménagères, afin de m'occuper jusqu'à ce soir. Il était inutile de préciser que le temps défila tranquillement et il fut l'heure pour moi de me préparer. Pour ce qui en était de Mike, je ne savais pas du tout s'il sortait ou s'il avait autre chose de prévu. Quoi qu'il en soit je fila à la douche afin de pouvoir adopter la coupe de cheveux que je voulais pendant le brushing. J'enfilais une fois finit un haut noir décolleté et une jupe que j'accompagnais avec mes bottes à talons noirs. Je me maquillais joliment avant d'attraper mon blouson, mon sac et mes clefs et d'enfin quitter la pièce.
J'avais décidé d'y aller à pied en profitant du dernier rayon de lumière présent, bien que je savais que j'allais arriver de nuit, ce qui ne me dérangea pas. Du moins, pas tant que je ne savais pas ce que le destin m'avait préparé...

En effet, j'avais, comme à mon habitude emprunté les ruelles sombres non loin du bar ou je me rendais. Mes talons claquaient en rythme contre le bitume et de temps en temps une voiture passait. Déjà la musique et l'ambiance du bar se faisait entendre, ce qui me donnait un chouette aperçu de la soirée. Soirée ou je ne participerais pas...
Un van noir sans vitre arrière s'était enfilé dans la ruelle, venant en sens inverse de moi, les phares éteints. Je ne l'aperçu donc pas et encore moins je l'entendis tellement j'étais plongée dans la musique non loin de là. J'avançais tranquillement quand soudainement j'aperçu le van s'arrêter à mes côtés, le conducteur étant impossible à voir à cause l'obscurité. Je voulu alors me retourner afin de comprendre ce qu'il se passait quand une main se plaqua soudainement contre ma bouche. Je criai aussitôt bien que mes cris étaient étouffé par cette main inconnue qui me tirait en arrière. Sous la surprise j'avais lâché mon sac qui gisait à présent sur le sol, quelque peu éventré. Je me débattais vigoureusement avant que la porte latérale du van ne s'ouvre, me laissant la mauvaise surprise de remarquer trois hommes cagoulés et habillés en noir à l'intérieur. Je tentais aussitôt de freiner en plantant mes pieds dans le sol bien que la personne dans mon dos, j'en déduisis que c'était aussi un homme, avait plus de force.
Un des trois hommes dans la fourgonnette sauta en dehors avant de s'approcher de mon sac qu'il ramassa à la hâte, laissant ainsi mon rouge à lèvre sur le trottoir bien que je ne l'aperçu pas. Il lança sans retenu mon sac à l'intérieur du véhicule pendant que je tentais de me débattre. Je ne savais pas qu'ils étaient et encore moins ce qu'il voulait, bien que de les voir ainsi habillé ne me disait rien qui vaille ...
Au secour !

[ Comme ça ça joue ? ]

Mike était tranquillement en train de dormir ! C'était samedi matin, assez tard. Mike profitait de dormir tranquillement. Couché sur le côté, il avait la tête tourné vers la jeune femme. Le bras vers sa direction. Sam' décida tout de même à se lever pour faire les tâches ménagères. Après de s'être lever, Mike ouvrit les yeux sentant qu'elle s'était décollé. La regardant un sourire aux lèvres, il ne savait pas comment allait se dérouler cette journée. Cette dernière s'approcha de lui et l'embrassa. Se laissant faire, il se redressa sur les coudes et regarda Sam' aller en direction de la salle de bain. Se redressant, il sortit lui aussi de ces draps. De bonne humeur aujourd'hui et attention c'était très très rare chez lui le matin, il décida d'aider Sam' aux ménages. Il avait rien à faire de la journée lui non plus. En fin d'après midi, début de soirée, la jeune femme alla se préparer. Mike lui n'allait pas sortir, il n'en avait pas très envie, l'expliquant à la jeune femme. Celle-ci se prépara et sortit. Mike lui proposa de l'amener, mais elle voulait y aller à pied. La laissant aller, lui partit à ses occupations.

Dans les ruelles sombres, la jeune femme marchait tranquillement dans la rue. Sam' pensait à passer une bonne soirée, ce qui n'allait pas se passer comme ce qu'elle pensait. En effet, une camionnette noire s'approcha rapidement vers Sam'. Celle-ci s'arrêta à côté et des hommes masqués en y sortir, s'approchant de la jeune femme, il mit les mains sur sa bouche pour empêcher qu'elle crie. Un son sortit et elle laissa tomber son sac qui fit rapidement ramassé par un des gars. Mit dans la camionnette, elle se débattait, mais rien y faire, ils fermèrent la camionnette avant de faire démarrer le véhicule ! Regardant la jeune femme. Ils lui mirent rapidement un morceau de tissu dans la bouche accroché derrière la tête ! Fallait surtout pas qu'elle crie ou autre pour éviter de se faire démasquer ! Lui attachant les mains à un coin de la camionnette. Elle ne pouvait pas les reconnaître car ils avaient tous des cagoules. La regardant satisfait, il n'allait pas là lâcher de suite !

"Alors ma jolie, on est seule dans la rue ? Mais tu sais c'est dangereux !"

Un d'eux lui dit-il, tout le groupe rigolèrent ensuite.

(désolé, faut que je démarre^^, je serais plus sadique après xD)

J'étais en direction du bar, à plus que quelques centaines de mètres et il m'avait fallu traverser cette ruelle sombre et c'est là que tout s'était gâtée. Je l'avais empruntée mainte fois, mais ce fut sans doute la fois de trop.
Un van sombre s'était arrêté à mes côtés et avant que je n'ai pu me retourner pour en savoir plus, une main se plaqua contre ma bouche, étouffant ainsi les cris que je lança sous la surprise. Je lâchais mon sac qui s'éventra sur le sol avant que mon regard ne se pose sur la porte coulissante du van qui venait de s'ouvrir. La je m'immobilisa. Trois hommes cagoulés et habillé en noir se trouvait là, ayant tous le regard posé sur moi. Je cherchais alors à me débattre afin de m'enfuir mais ce fut en vain. L'homme me maintenait que trop bien. L'un des trois hommes sortit du véhicule afin de ramasser à la hâte mon sac pendant que celui qui me tenait me poussa jusqu'au van. Je m'arrêta aussitôt, plantant mes pieds dans le sol, je ne voulais pas rentrer la dedans ! Malheureusement, l'homme pivota, moi avec et je me retrouvais à présent dos au van, ce qui était plus compliqué pour freiner et je fus tirée à l'intérieur.

Je tentais une fois de plus à crier avant qu'un des hommes ne place un bout de tissu dans la bouche, m'empêchant de faire ainsi trop de bruit. Je secouais la tête afin de l'empêcher de réussir mais il y arriva tout de même. Je fus alors attachée, les mains en avant et en hauteur, à un des coins du van. J'étais à moitié assise et à genoux, ne sachant toujours pas comment me mettre afin de me défendre s'il le fallait. Le regard des quatre hommes étaient à présent posé sur moi et le van se mit à rouler. Bien, il était donc cinq au minimum ( avec le conducteur ). L'un des homme me fit alors remarquer que se balader seule la nuit était dangereux et aussitôt, les trois autres s'esclaffèrent. Je me tassais un peu plus contre la paroi, les observant. Que voulaient-ils et qui étaient-ils ?

La jeune femme était sortie rapidement pour rejoindre le bar, Mike lui avait proposer de l'amener mais elle voulait y aller à pied. Ne disant rien, la jeune femme partit, mais elle arriva dans la rue sombre dans la nuit et la suite arriva, en effet, une bande d'affreux la kidnappèrent avant de la mettre dans un forgon. La jeune femme ne se laissait pas faire et cela mit un petit peu de temps, mais ils y réussirent à la mettre ! L'attachant au forgon en lui mettant les mains ensemble et en hauteur, ils lui mirent aussi un morceau de tissus sur la bouche pour éviter qu'elle crie. La camionnette roulait tranquillement. L'endroit était un peu rempli de trou donc cela secoua un peu puis ils retrouvèrent rapidement la route ! Un des gars lui lança une phrase et les autres commencèrent à rigoler. La jeune femme les regarda. Un des homme regarda le groupe et s'approcha de la jeune femme avec un sac noir, il le lui mit sur la tête pendant qu'un autre la tenait.

"Désolé ma petite, faut pas que tu vois où on va !"

Souriant, enfin mit, le jeune homme descendit la main le long de son corps avant de la poser sur la cuisse et de remonter un peu la main sous la jupe. Maintenant qu'elle était là fallait en profiter ! Il rigola puis retira la main avant de prendre son sac et de fouiller dedans et trouver son natel. Il l'ouvrit et regarda Sam'.

"Désolé cela on le garde !"

La soirée avait très mal tourné et je ne pouvais rien faire. Après m'être débattue je m'étais retrouvé au fond du van, les deux mains liées et attachées en hauteur du fourgon. Les quatre hommes cagoulés me regardaient et je ne pouvais rien dire à cause du morceau de tissu à par quelques bruits. L'un d'eux lança alors que c'était dangereux de se promener seule ici et tout les autres s'esclaffèrent. J'avalais brièvement ma salive avant de m'immobiliser quand deux hommes s'approchèrent de moi. L'un avait un sac noir dans la main et je me débattis aussitôt, n'hésitant pas à utiliser mes jambes. Malheureusement, l'autre homme me tint pendant que l'autre enfila le sac noir autour de ma tête. Je respirais aussitôt plus rapidement, de stress avant qu'il ne s'excuse car je ne devais pas savoir ou l'on allait.
Ce dernier en profita alors pour passer ma main le long de mon corps et je tentais de me décaler comme possible. Il finit alors par poser sa main sur ma cuisse avant de remonter un peu sous ma jupe. Je me débattis à nouveau, laissant entendre quelques cris étouffé par le tissu. L'homme y mit finalement un terme et sembla s'éloigner car je ne sentais plus sa présence. Le sac noir était légèrement troué mais comme il faisait nuit, je ne voyais rien.
Au bruit que mon sac fit je su qu'ils étaient entrain de le fouiller. L'un s'empara alors de quelque chose que je ne pouvais deviner, s'excusant du fait qu'il allait le garder.
Vint alors la route endommagée et je finis par m'asseoir, repliant une jambe contre moi et tirant de temps en temps sur mes poignets pour ne pas trop glisser. Contrairement à eux, je ne pouvais pas me rattraper et me stabiliser avec mes mains.
Je me débattais pas moment, tentant d'ôter ce sac qui me faisait plus paniquée qu'autre chose.

La jeune femme était enfermé avec les malfrats dans une camionnette. Ils l'avaient attaché à une corde suspendu vers le toi du fourgon. La jeune femme se débattait mais il était bien plus qu'elle et plus fort. Après de lui avoir fait une remarque, la jeune femme faisait simplement les regarder. Après quelques minutes, un des hommes lui mit un sac sur la tête, elle se défendait, mais un autre vint l'aider à la tenir. Lui mettant le sac, la jeune femme lança une sorte de cri, mais rien. Un des malfrats s'amusa a passé sa main sur sa cuisse et la remonter sous la jupe, la jeune femme se débattit puis il l'enleva. Prenant le sac de celle-ci, ils le regardèrent avant de prendre le téléphone en lui disant qu'elle aura pas besoin de cela.

Le véhicule roulait tranquillement sur la route. La jeune femme essayait de se défaire du sac. Les malfrats rigolèrent puis le camion s'arrêta. Les malfrats défirent la jeune femme et la tirèrent en dehors du fourgon avant de l'amener dans une sorte de maison. L'amenant dedans, il l'enfermèrent dans un local, accroché debout avec les bras en l'air.

"Désolé ma jolie, tu vas devoir attendre ici !"

Puis ils partirent en rigolant un peu et fermant la porte derrière eux.

Après m'être retrouvée accroché les mains en l'air dans la fourgonnettes, les hommes avaient jugé utile que je ne voient rien d'ou on allait et malgré le fait que je me débatte, ils se mirent à deux afin de me poser un sac noir autour de la tête. Je paniquai aussitôt un peu plus, cherchant à crier malgré le bout de tissu. Mes cris n'en étaient alors plus que de simples gémissement atténués. Je cherchais un long moment à me défaire, surtout quand le malfrat posa sa main baladeuse sur ma cuisse.
Finalement il cessa afin de fouiller dans mon sac. Je ne pouvais rien faire et lorsqu'il parla, je ne pu savoir de quel objet il s'agissait.
Entre temps, le fourgon s'était mis à rouler et je me tassais au fur et à mesure que le temps s'écoulait contre la paroi froide du van. Je ne savais pas qui ils étaient et ce qu'ils voulaient...

Nous avions du rouler un quart d'heure ou peut-être vingt minute lorsque la fourgonnette s'arrêta dans un maigre crissement de pneu. Je me redressais aussitôt et les hommes vinrent me détacher. Je soupira brièvement avant qu'ils ne me tirent en avant et finalement hors du véhicule. Je manqua de trébucher, ne sachant pas ou mettre mes pieds et je dus alors les suivre. Ils semblaient presser et je fis de mon mieux pour garder le rythme mais je m'encoubla lorsque l'on sembla rentrer dans une pièce. Bien entendu, comme il me tenait, ce ne fut pas dur de me remettre à marcher.
Quelques secondes après, mes talons firent un tout autre bruit et je devina que l'on avait à nouveau changé de pièce. Je t'entais d'ôter ce foutu sac de ma tête, mais ce fut en vain. Les hommes masqué me relevèrent alors les bras que j'avais toujours lié et les accrochèrent à nouveau en l'air. Je me débattis alors une fois de plus tout en gémissant. Qu'allait-il m'arriver ?
Malheureusement, ils furent plus fort que moi et j'entendis l'un deux s'excuser du fait que j'allais devoir attendre ici. J'émis aussitôt quelques sons avant que la porte ne se referme. J'essayai alors de bouger mes poignets, tentant de détendre la corde ou ce avec quoi ils m'avaient attaché...

Les malfrats venaient de mettre la jeune femme dans la camionnette. Lui mettant un tissu sur la bouche, la jeune femme fit rapidement accrochée en hauteur les mains attachées ensemble avant que le fourgon démarre. Un des hommes s'approcha de Samantha puis lui mit un sac noir sur la tête pour éviter qu'elle voie où ils étaient. Elle se défendit, mais un autre vint l'aider et réussirent à le mettre. Ensuite un d'eux passa sa main sur sa cuisse avant de remonter vers sa jupe. Cela les faisait rire, mais la jeune femme se débattit et il retira la main.

Se retrouvant sur la route après un peu de tout terrain, ils firent 20 minutes environ avant de s'arrêter. Sortant la jeune femme, un des hommes la tenait puis l'amena dans une pièce avant de l'attacher à nouveau en hauteur. La jeune femme se débattit puis ils la laissèrent seule refermant la porte de la pièce. Discutant tranquillement, ils rigolèrent bien avant qu'un d'eux se leva et se dirigea dans la pièce de la jeune femme avant de s'en approcher. Il lui retira alors le sac car cela pourrait l'étouffer, mais ils ne voulaient pas avoir un meurtre sur le dos ^^. Lui retirant le sac, il la regarda avant de sourire. Il se tourna et partit en direction de la porte après de lui avoir donner une claque sur les fesses ^^. Maintenant qu'elle était là, fallait en profitez ^^. Se retrouvant à nouveau vers les autres, il jeta le sac et revint s'assoir !

Après avoir été trimballée pendant une vingtaine de minutes sur les routes accidentées, j'avais été tiré hors du fourgon par les malfrats et je fus obligée de les suivre. Le sac noir me cachait toujours la vue et je trébuchais à presque chaque changement de pièce ou lors d'un trou dans le sol. Heureusement, les hommes me tenaient et il ne m'était alors pas compliqué pour me redresser.
Je les suivis sur quelques mètres avant qu'il ne s'arrête et ne s'empare de mes bras. Je me débattis aussitôt, mais ce fut en vain. Je fut accrochée les bras en l'air dans une pièce, ne pouvant rien apercevoir. Je fis alors ce qu'il m'était possible de faire comme bruit malgré le bout de tissu et je me ressaisit aussitôt lorsque la porte s'ouvrit. Je me redressais alors, cessant de faire du bruit. Qui était-ce ?
Lorsque je sentis deux mains se poser sur le bas du sac, je respirai brièvement avant de me décaler d'un pas. Finalement, le sac noir quitta ma tête et mon regard se posa aussitôt sur le malfrat. Je sursautais bien évidemment avant de reculer comme je le pouvais, laissant en même temps mes yeux s'habitué à la lumière flash des néons. J'aperçu alors le sourire du malfrats qui me donna une brève claque sur les fesses avant de s'éloigner. Je le regarda froidement avant que la porte ne se referme.
Je tournais aussitôt la tête, ou pouvais-je bien être ? Je levais alors mon regard afin de voir comment j'étais accroché et s'il n'était pas possible de m'en détacher...

Les malfrats venaient d'amener la jeune femme dans une pièce où ils l'attachèrent. ne lui enlevant pas le sac noir, ils la laissèrent un moment seule. Après un bon moment, un d'eux quitta la table où ils jouaient aux cartes et alla voir la jeune femme. Lui enlevant le sac, il la regarda avant de lui sourire et de lui faire une tape sur les fesses, maintenant qu'elle était là, il fallait bien en profiter ^^. Il sortit rapidement de la pièce pendant que la jeune femme chercha comment se défaire.

Après environ 30 minutes de jeu, 2-3 malfrats rentrèrent dans la pièce de la jeune femme. Ils s'en approchèrent et rigolèrent d'une blague dites un peu avant. S'approchant de celle-ci, ils se mirent en face d'elle. L'un d'eux lui mit un doigt sous le menton avant de lui redresser la tête.

"Dis voir ma belle, tu vas nous donner le mot de passe rapidement, si tu veux pas qu'il aie un malheur !"

Dis t'il froidement, ils savaient qu'elle avait travailler à Las Vegas et pensaient qu'elle avait un mot de passe qui les aiderait à finir leur plan.

Un des hommes était rentré dans la pièce pour retirer le sac noir de la jeune femme, cela pouvait l'étouffer, et il ne voulait pas sa mort ^^. Il en ressortit après de lui avoir donné une tape sur les fesses. 30 minutes plus tard, 3 hommes rentrèrent puis s'approchèrent de la jeune femme après d'avoir reprit leur sérieux. L'un d'eux s'en approcha puis lui redressa le menton avec un doigt pour qu'elle le regarde. Il avait un regard froid. Il lui demanda ce que le mot de passe était si elle voulait pas de souci. La jeune femme hocha la tête et se retira. L'homme la lâcha avant de la tirer contre lui.

"On veut jouer à la maline ? Tu vas me dire le mot de passe pour ce casino !"

Lui dit'il avant de lui retirer le tissu dans la bouche si elle voulait répondre ce qui serait mieux car avec elle pourrait pas parler ^^

- Quel mot de passe ?

Trois hommes venaient de rentrer dans la pièce de la jeune femme. Celle-ci étant toujours attaché, l'un d'eux surement le chef venait de lui redresser la tête avant de lui demander le mot de passe. La jeune femme hocha la tête et s'écarta de lui ce qui lui déplut car il la tira contre lui en lui redemandant de lui donner le mot de passe ou sinon cela allait mal tourner pour elle. Il lui enleva le tissu dans la bouche avant de la lâcher. Elle lui demanda de quel mot de passe il parlait.

"Arrête de la jouer comme cela, tu sais très bien de quoi on parle, tu sais le comment déjà ? Montecito ? Le casino à Las Vegas ! On veut le mot de passe pour avoir l'argent ! Tu sais très bien ce que l'on veut alors dis le nous !"

Le chef s'énervait un peu, mais il ne savait pas qu'elle disait la vérité et qu'elle ne savait pas le mot de passe. Mais il s'enteta à lui demander, il voulait une réponse il l'aurait !

Trois hommes étaient rentrés dans la pièces ou j'étais accroché et l'un d'eux s'approcha de moi afin de m'ôter le bout de tissu que j'avais dans la bouche. Il me semblait que s'était le chef car les deux autres semblaient attendre ses paroles, contre quoi ils ne bougeaient pas. Je les observais brièvement avant qu'il ne me redresse la tête en posant sa main sous mon menton. Je fus alors obligé de le regarder. Il m'avait demandé un mot de passe et je n'avais pas tardé à répondre que je ne savais pas de quoi il parlait. Il n'apprécia pas et me répéta une fois de plus d'arrêter de jouer. Je l'observa brièvement avant qu'il ne me parle se Las Vegas et d'un certain mot de passe pour obtenir de l'argent. C'était quoi ça ?

- Comment vous savez que j'ai travaillez la bas ?

Dis-je froidement avant de tenter de me dégager du malfrat. Je lui avais déjà fait comprendre que je ne savais rien et c'était la vérité, du moins, s'il parlait vraiment du mot de passe d'un quelconque coffre fort...

La jeune femme était toujours attachée aux cordes qui lui tenaient les mains en hauteur. Trois hommes s'approchèrent d'elle pour lui demander le mot de passe, celle-ci répondit qu'elle ne savait pas de quoi ils parlaient. Le chef s'énerva en s'expliquant de Las Vegas le Casino. La jeune femme les regarda avant de demander comme cela se faisaient qu'ils savaient qu'elle travaillait là-bas. Le chef la regarda un sourire au coin des lèvres juste pour agacer.

"Oh c'est moi qui pose les questions, on sait juste que tu y travailles ou travaillait, donc tu réponds simplement à nos questions si tu veux pas que cela se tourne mal. Donc c'est quoi le mot de passe ? "

Dis-t-il froidement, non mais pour qui elle se prenait ? Il n'aimait pas cela et lui prit le menton avant de la serrer plus fort.

"Tu as intérêt de nous le dire rapidement... !"

J'étais attachée les mains en hauteur dans un endroit qui m'était inconnu et trois malfrats m'entouraient. L'un s'était approché de moi et m'avait relever la tête à l'aide de sa main, me demandant un mot de passe. Je ne savais pas de quoi il voulait parler et il s'était fait plus clair en parlant de Las Vegas. Sans doute voulait-il le code d'accès au coffre fort mais s'était loin d'être aussi simple et il devait le savoir... Je lui avais alors demandé comment il avait su que j'avais travaillé la bas, mais il le prit mal.
Le chef me dit que c'était lui qui posait les question, qu'il s'avait ou j'avais travaillé et que je ne devais que répondre au question si je voulais que tout aille pour le mieux. Il me regarda alors froidement avant de me prendre le menton et de le serrer un peu plus fort, m'obligeant ainsi à le regarder. Il y avait tellement de mot de passe et de code d'accès dans un casino que je pouvais pas savoir du quel il parlait...

- Je ne sais pas de quoi vous parlez

Répondis-je avec des paroles légèrement étouffées.
Je bougeais alors discrètement mes mains, cherchant à détacher la corde du crochet qui me maintenait les mains en l'air...

Les trois hommes qui venaient de rentrer dans la pièce où se trouvait Sam' étaient en face d'elle. Le chef de la troupe venait de lui demander le mot de passe, bien sur la jeune femme ne savait pas de quoi ils parlaient, ils lui expliquèrent un peu mieux avant que le chef s'énerve quand Sam' lui posa une question. Ce n'était pas à elle de poser des questions mais à lui et elle était forcée d'y répondre si elle voulait pas que cela se passe mal. Lui prenant le menton plus fort qu'avant, il lui redemanda le mot de passe, mais la jeune femme continua en précisant qu'elle ne savait pas de quoi ils parlaient. Le chef la regarda bien froidement avant de la voir bouger ses mains pour essayer de se défaire. L'homme regarda les deux autres et fit un signe. Un homme sortir un revolver avant de le braquer sur la jeune femme. S'approchant de celle-ci, il mit les mains vers ses mains avant de les tenir.

"Je vous avais dis que cela passerait pas si bien que cela, vous avez le choix maintenant et je suis sur qu'il a envie d'appuyer sur la cajette (je sais pas comment cela s'écrit ^^) si vous ne répondez pas, vous savez vous ne serez pas la première à mourir par un revolver tenu par cet homme. "

Dit-il froidement, c'était vrai l'homme avait déjà tué plusieurs personnes !

Après la question que j'avais posé, le chef s'irrita et il me maintenu plus fortement le menton, m'obligeant à le regarder. Je lui répéta une fois de plus que je ne savais pas de quoi il voulait parler, mais les choses se gâtèrent. L'un des hommes s'approcha de moi et sortit son arme qu'il braqua sur moi. Je me redressais aussitôt avant que l'autre ne pose ses mains sur mes mains afin de les tenir.
Le chef me dit qu'à présent j'avais le choix, mais que l'homme mourait certainement d'envie d'appuyer sur la gâchette. Je me redressai alors brièvement avant qu'il précise que ça n'arriverait que si je ne répondais pas. Seulement, s'il me tirait dessus, il ne pourrait jamais avoir son fameux mot de passe, voilà pourquoi il devait me garder en vie.
Je le repoussa alors brusquement d'un coup de pied bien placé avant de bousculer le chef en arrière. Je décrochais aussitôt mes mains et je parti en courant. Ouvrant la porte comme je le pouvais avec mes mains liés, je ne tarda pas à filée. De l'autre côté se trouvant d'autre malfrats. Je sursautais avant de partir en courant dans un couloir. La plus part des portes étaient fermés mais je finis par en trouver une d'ouverte. Il s'agissait d'un bureau. Je m'engouffra aussitôt à l'intérieur avant de me planquer sous le bureau, profitant de l'obscurité. Il fallait que je déguerpisse d'ici au plus vite !

La jeune femme ne voulait toujours par leur répondre. Après de lui avoir prit le menton plus fort, la jeune femme ne répondit toujours pas et là le moment se gâta. L'homme derrière le chef sortit une arme et la braqua sur la jeune femme et le chef rajouta que celui-ci avait surement très envie d'appuyer sa la gâchette et qu'elle ne serait pas la première à mourir à cause de ce mec. ^^
La jeune femme le regarda puis poussa le "troupeau" xD avec des coups de pied avant de réussir de se défaire et de sortir de la pièce rapidement, mais de l'autre côté se trouvèrent aussi des malfrats qui se redressèrent tous rapidement pour la suivre. Il y avait qu'une porte d'ouverte donc ils la suivirent dans celle-ci. De l'autre côté, les 3 hommes se redressèrent et sortirent à leur tour de la pièce rejoignant le groupe. Ils allumèrent la pièce et se mirent à la chercher. Bien sur plusieurs malfrats qui la recherchaient allait pas être facile pour elle de s'en sortir. L'un d'eux la trouva sous le bureau et lui attrapa les cheveux pour la sortir de celui-ci et de la redresser.

"Je l'ai retrouvé !!!"

Dis t'il, les autres s'en approchèrent avant que le chef pousse tout le monde et se retrouve devant elle.

"On croyait pouvoir nous échapper ? "

Puis l'homme qui était avec l'arme s'en approcha et lui braqua l'arme sur la tête se mettant derrière elle et la poussa pour qu'elle avance.

"Tu sais que tu nous donnes pas le mot de passe, ce nous fera rien de te tuer car de toute façon on ne l'aurait pas eu donc voilà ! Et j'adore les tuer à petit feu, les faire souffrir, les torturer puis par les achever !"

Dis t'il avant de lui passer la main sur les fesses et de les pincer. Il sourit tranquillement.

"Tu as un joli derrière, c'est dur de se retenir !"

Je savais qu'ils pensaient que je détenais le mot de passe qu'ils voulaient tant obtenir et c'est pourquoi je tentai de m'échapper. Ils n'allaient pas me tirer dessus pour la simple raison qu'ils n'en seraient pas plus avancé. Tant que je ne leur donnais pas le mot de passe, que je ne connaissais pas moi même sauf celui réservé aux employés ( mais ce n'était certainement pas lui ). J'avais donc filée dès le moment ou j'avais décroché mes mains. Elles étaient toujours liées entre elles, mais plus accrochées en hauteur. Je partie alors en courant après avoir bousculé le chef et donné un coup à l'autre malfrat. Une fois hors de la salle, j'avais pris le premier chemin visible et j'étais arrivée dans ce fameux couloir dont les portes étaient toutes fermées. Je commençais légèrement à paniquer avant que ma main ne s'arrête sur une poignée ouverte. Je sautais aussitôt dessus avant de me précipiter à l'intérieur. Il s'agissait d'un bureau. Les meubles étaient sans dessus dessous mais je trouvais le moyen de me cacher.
Il se passait quelques minutes ou rien ne se passait. J'entendais les malfrats me chercher, mais ils n'étaient pas encore là. Mon coeur battait nerveusement et je plaçais une main contre la bouche pour éviter de faire trop de bruit. C'est à ce moment que la porte s'ouvrit et que la lumière jaillit. Je sursautais avant de plaquer un peu plus contre la paroi du bureau. Les pas des hommes raisonnaient sur le sol et je retins le plus possible ma respiration. Il ne fallait pas qu'ils me trouvent, tout ce que je voulais était partir d'ici. Malheureusement ce ne fut pas le cas. L'un d'eux me trouva et il m'attrapa aussitôt par les cheveux avant de me tirer hors de ma cachette. Je grimaça aussitôt de douleur avant de me redresser, laissant échappé un cri. Le chef poussa alors les autres afin de se retrouver devant moi. Je l'observa avant de grimacer de douleur lorsque le malfrat me tira encore les cheveux. Le chef me demanda si je pensais leur échappé mais je ne répondis pas, ça ne valait pas la peine. L'homme armée s'approcha alors de moi et il braqua son arme en direction de ma tête. Je me redressais aussitôt avant qu'il ne me pousse pour que j'avance, ce que je fis. L'homme me dit alors que cela ne faisait rien si je ne lui donnais pas le mot de passe car il savait qu'il ne l'aurait pas obtenu. Il ajouta qu'il adorait tué à petit feu. Je l'observa brièvement avant qu'il ne passe une main sur ma jupe et qu'il ne pince mes fesses. Je me décalais aussitôt avant qu'il ne dise que c'était difficile de se retenir... Et bien, j'espérais qu'il allait se retenir !

La jeune femme venait de s'échapper de la pièce en poussant les malfrats. Mais oubliant que d'autres étaient en face, elle se retrouva avec eux et partit dans un couloir avant de prendre la seule pièce ouverte, se cachant sous le bureau. Les hommes la suivirent en groupe et rentrèrent dans la pièce avant de la rechercher. Un d'eux la trouva et la sortit de la cachette en lui tirant les cheveux. La tenant, le chef s'approcha en lui demandant si elle croyait pouvoir s'échapper. L'homme armé s'approcha de la jeune femme et braqua son arme sur la tête la poussant pour qu'elle avance ce qu'elle fit, il en profita pour mettre sa main sur ses fesses avant de dire que c'était dur de résister. La jeune femme se décala. L'homme retira la main avec un sourire. Le chef les rejoint.

"Tu veux vraiment rien nous dire ? "

Demanda-t'il. Il voulait une réponse et il l'aurait, temps de la manière qu'il faudra prendre pour l'avoir !

Mike:
De l'autre côté le jeune homme ne voulait pas sortir pour une fois, laissant aller seule Sam' au bar. Ne sachant pas qu'elle s'était fait embarquée avec des malfrats, il resta tranquille avant de regarder l'heure, il commençait à se faire tard et c'était bizarre car elle revenait toujours pas, il savait que de rentrer à pied était long, mais c'était pas à ces habitudes. Il resta encore 30 minutes sans rien faire et c'est là qui commença à douter. Il prit son natel et essaya d'appeler, mais personne répondait.

Je n'étais pas restée cachée pendant un long moment, les malfrats m'ayant retrouver une dizaine de minutes plus tard. Celui qui m'avait aperçu m'avait tiré hors du bureau en m'attrapant par les cheveux et j'avais été obligé de me relever. Je grimaçais de douleur avant qu'il ne me lâche pour me coller l'arme contre ma tête. Je me raidie aussitôt avant que le chef ne se place devant moi. Ses paroles me firent froid au dos et je fus alors poussé en avant par le malfrat. Le chef posa alors sa main sur ma jupe avant que je ne me décale comme je le pouvais, le regardant froidement. Il raconta alors qu'il était dur de se retenir. Et bien il avait intérêt !
Je marchais donc devant le malfrat, l'arme collée contre ma tête. Même si je savais qu'il devait me garder vivante jusqu'à que je leur dise le mot de passe [ Elle l'a pas ], je ne pouvais pas me permettre trop de liberté. Il avait tout de même ma vie entre ses mains. Comme je n'avais pas répondu, le chef me demanda si je ne voulais vraiment rien lui dire et je l'observa simplement avant de me faire pousser en avant par le malfrat car j'avais ralentie.

Pendant ce temps, Mike avait essayé de me joindre mais mon portable devait s'être éteins lorsque j'avais fait tomber mon sac ou les malfrats avaient du l'éteindre. Quoi qu'il en soit, personne ne savait et Mike tomba sur ma boîte vocale.

" Salut, C'est Samantha, je ne suis pas là pour le moment alors laissez moi un message et je vous rappellerais plus tard ou réessayer dans un petit moment si c'est urgent . Bisous "

la jeune femme s'était échappée mais malheureusement pour elle, elle s'était rapidement fait retrouvée. Tirée par les cheveux, un malfrat la souleva par ceux ci avant que le chef les rejoigne et explique a sam quelle n'aurait pas pus s'enfuir si facilement. Un des hommes la ramena dans la pièce principal en lui braquant une arme sûr la tête. Arrive dans celle-ci, le chef lui demanda si elle voulait toujours rien dire. Le malfrat la mit dans un chaise et lui attachèrent les pieds et mains a celle ci . La regardant, il lui fit un sourire avant de prendre un couteau et de s'approcher de la jeune femme et le lui mette sur le cou et de lui faire une entaille pas très grosse.

" alors on veut toujours rien dire ?"

Un autre malfrat en profita pour passer ses mains sûr ses hanches et de les remonter sous la jupe en souriant. Il fallait bien en profiter
depui quelle est la.

De l'autre côte, mike commençait a s'inquiéter pour Sam' et n'hésita pas a appeler plusieurs fois, mais personne ne répondait. Cela stressait mike car c'était rare quelle soit pas a cette heure au domaine... Il rappelle une autre fois mai il recevait le message comme quoi il était eteint.

J'avais été rattrapé par les malfrats. L'un deux pointa son arme sur moi pendant que le chef me demandait de parler. Je ne savais rien et je n'avais donc rien à lui dire. Comme j'avais ralentie, le malfrat armé me poussa en avant et je m'exécutai. Il avait ma vie entre ses mains et je ne voulais pas que tout finisse aujourd'hui. Je fus alors de nouveau amené dans la pièce que j'avais quitté il devait y avoir cinq minutes. Le chef me demanda alors si je ne voulais toujours rien dire et je l'observa simplement, toujours immobile à cause de l'arme. Je m'apprêtais à lui dire quelques mots avant que je ne sois poussé sur une chaise. Un malfrat m'attacha alors bien vite les mains et les pieds. Je tentais de les en empêcher, mais ce fut en vain. Je regarda alors froidement le chef qui s'approchait justement de main. Je redressa ma tête avant de poser mon regard sur le couteau qu'il tenait entre ses mains.

- Je ne sais pas de quoi vous parlez

Lâchais-je expressément avant de tenter de me tasser contre la chaise pour éviter la lame argenté du couteau. Malheureusement, ce ne fut pas suffisant et le chef me fit une légère entaille. Je la sentie sur le moment, mais ce n'était pas d'une taille importante. Il me redemanda alors si je ne voulais toujours rien dire.

- Je ne sais rien !

Dis-je rapidement pour éviter une quelconque autre action du chef. Malheureusement, ce ne fut pas lui qui se mit en mouvement, mais un deuxième homme. Ce dernier posa ses mains sur mes cuisses avant de les remonter sous ma jupe. Encore une fois, il était impossible d'y renoncer, étant attachée. Je le regarda alors froidement. Pour le moment, je me permettais encore d'agir comme bon me semblait car j'étais persuadé qu'il devait m'avoir vivante s'ils espéraient une réponse et surtout un mot de passe... Mais qu'allait-il se passer quand ils perdront patience ?

" Salut, C'est Samantha, je ne suis pas là pour le moment alors laissez moi un message et je vous rappellerais plus tard ou réessayer dans un petit moment si c'est urgent . Bisous "

Mike commençait à s'inquiéter et le même message ce déroulait à chaque reprise. Mon portable était éteins et les malfrats ne l'avaient visiblement pas encore allumer, car ils auraient du venir me demander le mot de passe. Le jeune homme stressait car je n'étais toujours pas au domaine et moi même je ne savais pas ou j'étais. On avait roulé un bon moment et je n'avais aucune idée...
Comment ça allait finir ?

» Mauvaise Nouvelle.
» Bonne ou mauvaise nouvelle?[Rikki]